Lors d’une visite à Amiens, jeudi 21 novembre, le président de la République a déploré une France devenue actuellement "trop négative".
Lors de sa visite à Amiens pour l’inauguration du site de l’université, jeudi, le président de la République a déploré que la France soit devenue "trop négative". En outre, il a prévenu qu’en démocratie, la casse n’est pas une liberté, en référence à la journée de grève interprofessionnelle du 5 décembre. "Il n’y a pas de liberté sans ordre public dans la rue, il y a une liberté de manifester, il y a une liberté d’exprimer son opinion, mais il n’y a pas de liberté de casser", a insisté Emmanuel Macron.
Le chef de l’État a déploré les violences, notamment pour le 1er anniversaire du mouvement des "Gilets Jaunes" et celui dans les universités.
Selon son entourage, le président de la République a pris la décision d’alléger son programme international autour de la période du 5 décembre. Il souhaite ainsi que tous les partenaires sociaux dénoncent les violences, rapporte Le Figaro.
Emmanuel Macron n’a pas oublié d’affirmer et de reconnaître que le cas de l’étudiant de 22 ans, qui a tenté de s’immoler par le feu à Lyon, rappelle les difficultés de la vie estudiantine.