L’état de santé du couple Chirac ne cesse d’attirer l’attention de la presse. Cette fois, les vraies raisons de l’hospitalisation de Bernadette Chirac ont été révélées. Adepte d’automédication, l’ancienne Première dame se serait concocté malgré elle un cocktail toxique en mélangeant plusieurs traitements.
Après plus de trois semaines passées à l’hôpital Pitié-Salpêtrière, à Paris, l’ancien président de la République, a pu rejoindre son domicile pour poursuivre sa convalescence. Les médias franciliens s’intéressent désormais sur le cas de Bernadette Chirac. Selon Le Parisien, l’ex-Première dame a dû passer quatre jours à La Pitié-Salpétrière et non pas quelques heures comme l’avait prétendu la famille. Pour quelles raisons ?
Le Parisien se fait l’écho de l’admission à l’hôpital parisien de La Pitié-Salpêtrière de Bernadette Chirac. Si l’ex-Première dame en est sortie depuis le 24 septembre, elle avait été prise en charge peu de temps après son mari. Bernadette Chirac est donc restée, en tout et pour tout, quatre jours à l’hôpital. Si un coup de fatigue a été évoqué, la vraie raison de cette hospitalisation serait un mélange toxique de médicaments selon toujours le quotidien. Bernadette Chirac aurait en effet pour fâcheuse habitude de pratiquer l’automédication et "avait mélangé plusieurs traitements : un cocktail toxique qui a nécessité cette courte hospitalisation", a précisé le quotidien.
Le Parisien revient également sur la période d’hospitalisation de Jacques Chirac soulignant que l’ancien chef d’Etat a frôlé la mort. A 83 ans, l’époux de Bernadette Chirac va être surveillé de très près, explique une source proche qui s’était confiée au Parisien au lendemain de son hospitalisation. Il a beaucoup maigri et se déplace en fauteuil roulant selon ce proche. "La mort de sa fille Laurence en avril dernier l’a profondément affecté", précise cette source. Par ailleurs, durant son hospitalisation les visites accordées à l’ancien Président avaient été particulièrement surveillées par Claude Chirac, sa fille, et Frédéric Salat-Barroux, son gendre. Le roi Mohammed VI du Maroc, chez qui logeaient Jacques et Bernadette Chirac avant que l’ex-chef de l’Etat ne soit rapatrié d’urgence après son malaise, est notamment venu prendre de ses nouvelles en personne. Dans la plus grande discrétion.