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L’Union française des industries pétrolières se veut optimiste par rapport à la situation du carburant sur le territoire de l’Hexagone. "Il n’y a pas de pénurie au niveau national, même si des situations tendues peuvent encore exister", a déclaré confiant l’instance.
Une nette amélioration de la situation du carburant
Ce mardi 31 mai, l’Union française des industries pétrolières (Ufip) a fait état de la situation positive du carburant sur le territoire français. Malgré le fait que 20 % de stations-service aient connu une rupture d’approvisionnement partielle ou totale, une "très nette amélioration" dans l’équilibre du marché du combustible a été perçue. Le président de l’Ufip, Francis Duseux, a salué dans un communiqué les efforts conjugués fournis par tous les acteurs pétroliers et les pouvoirs publics qui ont permis cette avancée. Comme le confirme M.Duseux, le nombre de stations en rupture totale avait diminué, sans pour autant préciser les statistiques.
Une amélioration confirmée par Total
De son côté, le grand fournisseur pétrolier Total a également confirmé cette "amélioration significative". D’après le géant du carburant, 553 stations sont encore en rupture totale (216) ou partielle (337), dans la matinée de ce mardi 31 mai.
La veille, les chiffres de ruptures étaient à 653 dans un réseau qui compte en tout 2200 stations-service. Ce mardi, quatre des huit raffineries que compte la France étaient totalement arrêtées. Deux autres fonctionnaient avec un débit très faible tandis que les deux dernières stations-service appartenant au géant américain ExxonMobil marchaient normalement.
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