Les gendarmes font appel aux drones pour se mettre dans l’air du temps d’internet et de la troisième dimension. Pour faciliter leur travail et pour plus d’efficacité, la gendarmerie nationale n’hésite pas à investir une petite fortune en se procurant ces petits engins très spéciaux et plus qu’efficaces.
Les drones sont devenus des armes indispensables de nos jours. Pour mener une opération furtive ou simplement vérifier l’état du trafic routier, ces petits bijoux de technologie sont d’un grand aide et facilitent les tâches des gendarmes. De plus, cette démarche très stratégique et très pratique permet de préserver les forces de l’ordre contre les expositions aux dangers. Ils peuvent servir d’yeux aux gendarmes pour superviser les opérations délicates et pour avoir une vue en profondeur de la zone d’intervention. Ces drones des gendarmes seront opérationnels d’ici la fin du mois de février ou au début du mois de mars lorsque leur système de téléguidage sera mis en service.
Très discrets et habiles, les drones sont presque indétectables grâce à leurs moteurs électriques, qui sont de plus très silencieux. Ces engins peuvent voler aussi bien au ras du sol comme à cent cinquante mètres d’altitude offrant tout un panel de perspectives. Capables d’effectuer des vols stationnaires, ils peuvent sans difficulté prendre des photos et des vidéos très précises et bien détaillées tout en facilitant l’évolution spatiale d’un évènement en particulier ou l’état de la circulation par exemple. Par ailleurs, ces drones à 50 000 euros l’unité peuvent également filer à une vitesse de pointe de plus de 70 km par heure.
A LIRE AUSSI
Notre dossier sur la gendarmerie et sur les drones.