Selon Metronews, les pièces et billets actuellement en circulation peuvent valoir au-delà de leur valeur faciale.
Il y a quelques clefs pour déterminer cette valeur.
Scrutez vos billets à la loupe
La mises en circulation des nouvelles coupures de 10 euros (depuis septembre 2014) et de 5 euros (depuis mai 2013) font monter la cote des premières séries. En effet, ces dernières, progressivement retirées de la circulation, se rarifient. Ce qui est rare est cher.
Ne négligez pas les centimes
Le site Info-collection.fr indique que la grande majorité des euros et centimes en circulation ont une cote identique à leur valeur faciale.
Les centimes finlandais
Du fait de leur constitution en cuivre certaines pièces valent de petits trésors : par exemple un centime finlandais de 2001 s’achète 10 euros et ceux de Monaco de 2001 et 2002 - rarissimes - à plus de 100 euros. Pour des motifs se rapportant à leur coût, la Commission européenne envisage de supprimer les pièces de 1 et 2 centimes. Gardez en quelques exemplaires ; leur pourrait prendre de la valeur d’ici quelques années.
Les euros de Monaco et du Vatican
Pour les pièces d’un ou deux euros, leur ratio est moins impressionnant. On peut cependant en tirer des opportunités : la pièce d’un euro neuve de Saint-Marin mise en circulation en 2003 vaut 30 euros, celle de deux euros de Monaco de 2010 à environ 100 euros ou encore celles du Vatican de 2002, 2003, 2004 également à 100 euros, toujours selon Info-collection.fr
Les défauts de fabrication
Pièces "fautées", c’est leur qualification par les spécialistes : elles sont pourvues de deux côtés pile ou deux côtés face, leur frappe est mal centrée, le flan est strié au lieu d’être lisse, etc. Ce sont des anomalies auxquelles les collectionneurs ne résistent pas, et qui leur donne de la valeur auprès de ces derniers.