Un groupe algérien qui se dit lié à l’état islamique a décapité un otage français. La montée des menaces terroristes en France comme dans le monde oblige l’Elysée à prendre de sérieuses mesures.
Outre la promesse d’intensifier le soutien apporté aux troupes militaires en Syrie ainsi que le renforcement de la sécurité dans les lieux publics et des transports, la France voit en grand pour la répression de la menace jihadiste. Les frappes militaires vont perdurer sur les terres localisées comme appartenant à l’EI. Par ailleurs, le drapeau tricolore a proposé son assistance à tous les Etats qui désireraient combattre les insurgés islamique étrangers.
Cette grande motivation est en partie due aux derniers événements : menace de tuer les français, exécution par décapitation de l’otage français, . ... A cela s’ajoute le fait que plusieurs ressortissants français avaient tenté de gagner les terres de combats pour participer au jihad. De plus, un appel à la haine contre les français avait été lancé par un des chefs des insurgés islamiques.
Pour assurer la protection de ses compatriotes, le gouvernement français a ainsi dressé une liste des pays à éviter. On compte donc : La Turquie, la Syrie, l’Iran, l’Irak, le Liban, la Jordanie, le Koweït, le Bahreïn, le Qatar, les E.A.U (Émirats Arabe Unis), l’Oman, l’Arabie Saoudite, le Yémen, l’Israël, les Territoires palestiniens, le Djibouti, L’Ethiopie, le Kenya, le Soudan, L’Egypte, le Tchad, la Lybie, la Tunisie, le Niger, le Nigeria, l’Algérie, le Mali, le Burkina Faso, le Maroc, la Mauritanie et le Sénégal.
Selon le Figaro, la liste qui était composée de 35 pays a été révisée et en contient désormais 40. "Aujourd’hui, nous avons étendu l’appel à une dizaine de pays de plus", annonce Didier Le Bret avant de préciser que "plusieurs étaient de grands pays musulmans en Asie."