Mardi 31 décembre soir, Emmanuel Macron a présenté ses vœux pour 2025 à l’occasion de la traditionnelle allocution télévisée. Voici les points essentiels de son discours.
Lors de sa présentation de vœux pour la nouvelle année 2025, Emmanuel Macron est revenu sur la dissolution de l’Assemblée nationale.
Mardi 31 décembre soir, il a notamment admis que cette décision a "apporté pour le moment davantage de divisions que de solutions pour les Français et a produit plus d’instabilité que de sérénité". "J’en prends toute ma part", a-t-il assuré en estimant que l’année qui s’ouvre devait être celle "du ressaisissement collectif" pour permettre la stabilité.
Emmanuel Macron a également indiqué qu’en 2025, il demanderait aux Français de "trancher des sujets déterminants". Il a ainsi laissé entrevoir d’éventuels référendums ou conventions citoyennes, selon 20 Minutes. Il a an outre promis de veiller à ce que la France "continue d’être attractive, travaille et innove plus". "Qu’elle continue de créer des emplois et assure sa croissance en tenant ses finances", a cité le chef de l’Etat.
Sur le plan européen, le locataire de l’Elysée a appelé à un réveil face aux "lois dictées par d’autres" dans des domaines comme le commerce ou l’agriculture. "Dire non aux lois du commerce, dictées par d’autres et que nous sommes les seuls à encore respecter. Dire non à tout ce qui nous fait dépendre des autres sans contrepartie et sans préparer notre avenir", a-t-il affirmé.
A l’inverse, selon lui, il faut le "réveil européen, un réveil scientifique, intellectuel, technologique, industriel, un réveil agricole, énergétique et écologique". Pour ce faire, Emmanuel Macron a souligné la nécessité d’aller plus vite, "prendre nos décisions plus rapidement, plus fortement en Européens, simplifier nos règles et investir davantage".
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