Jacques Witt/SIPA
En juillet, selon le baromètre Elabe pour Les Échos, la cote de confiance d’Emmanuel Macron, après avoir fortement baissé le mois dernier, a augmenté de 1 point pour atteindre 25%. De son côté, Gabriel Attal, paraissant moins affecté, a vu sa cote de confiance progresser de 2 points, s’établissant à 31%.
Après les élections législatives, la cote de confiance d’Emmanuel Macron, bien que légèrement remontée à 25 % dans le baromètre Elabe pour Les Échos, demeure à l’un de ses niveaux les plus bas depuis 2017, après une chute de 5 points le mois précédent. Ce sondage a été réalisé avant la publication de la lettre du président aux Français le mercredi 10 juillet, en après-midi. Malgré cela, il conserve la confiance de 74% de ses électeurs du premier tour de 2022, selon Bernard Sananès d’Elabe, soulignant un soutien relativement solide malgré des opinions divergentes. Cependant, la décision de dissolution a provoqué un recul notable parmi les cadres, avec une baisse de 15 points en deux mois à 30%.
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Gabriel Attal voit sa cote de confiance augmenter de 2 points à 31 %, surpassant Emmanuel Macron de 6 points. Selon Bernard Sananès, la campagne électorale a renforcé son ancrage dans l’électorat sans l’affaiblir comme le président. Dans l’électorat macroniste, Attal recueille 79 % de confiance des électeurs du premier tour de 2022 et jusqu’à 59 % chez ceux du second tour. Les Français le perçoivent comme sincère et proche, appréciant sa concrétude et lui accordant un crédit pour l’avenir. Il reste discret publiquement, mais joue un rôle actif en coulisses auprès des députés Renaissance.
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