Invitée sur RTL jeudi 16 janvier, Ségolène Royal parle des accusations dont elle semble être la cible.
A la suite de l’ouverture d’une enquête préliminaire du parquet national financier (PNF), l’ancienne ministre de l’Environnement a voulu donner sa version des faits sur le plateau de RTL. Cette enquête concerne, en effet, l’utilisation des moyens mis à sa disposition durant sa fonction en tant qu’ambassadrice des pôles.
Selon Ségolène Royal, elle avait quitté son poste, car "elle avait été limogée". Actuellement, cette dernière est présidente d’une fondation, baptisée "Désirs d’avenir pour la planète".
"Dans la mesure où je suis ciblée, je ne peux pas, moi, rentrer dans les considérations politiciennes même si personne n’est dupe de ce qu’il se passe.", a-t-elle estimé.
Voilà maintenant plusieurs mois que le harcèlement continue, a indiqué l’ancienne candidate à la présidentielle.
"Ça a commencé par des révélations au mois de novembre, puis deux parlementaires qui ont fait croire le jour de Noël que j’allais être convoquée de façon punitive. (…)", a-t-elle ajouté.
Ségolène Royal a indiqué que l’Assemblée nationale n’a jamais voté de commission d’enquête en raison de l’injonction du gouvernement de son silence.
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