XAVIER MALAFOSSE/SIPA
Roland Cazzola et Marguerite Pasquini, placés en garde de vue dans le cadre de l’enquête sur des soupçons de fraudes lors des municipales à Marseille, ont été privés de délégation.
Quatre personnes en garde à vue pour des soupçons de procurations frauduleuses établies dans le 8e secteur lors des élections municipales à Marseille.
Roland Cazzola et Marguerite Pasquini, proches de Samia Ghali (deuxième adjointe à la mairie de Marseille), étaient parmi ces personnes placées en garde à vue. Mais les deux élus dans les 15e et 16e arrondissements ont été libérés sans avoir été poursuivis.
Roland Cazzola et Marguerite Pasquini figuraient dans la liste des 30 adjoints possibles. Cette liste a été révélée dès l’élection de Michèle Rubirola le 4 juillet. Pourtant, mardi 21 juillet, quand la majorité de gauche de M. Rubirola a dévoilé la liste des délégations d’adjoints, aucun des deux élus n’en fait pas partie, rapporte Le Figaro.
Une liste des 28 adjoints a été rendue publique par la municipalité, qui, contactée par Agence France-Presse, a préféré ne faire aucun commentaire sur cette décision.
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