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Au lendemain de la fin du sommet du G7, François Bayrou a salué les efforts fournis par la France et ses dirigeants pour avoir retrouvé sa place et son rôle dans la diplomatie internationale.
Après la clôture du sommet du G7, chacun a pu donner ses impressions concernant la rencontre des chefs d’Etat à Biarritz. Au lendemain de la clôture du sommet, François Bayrou, président du MoDem, a souligné sa satisfaction, rapporte Ouest France. Lors de son interview sur Radio Classique, le maire de Pau a salué de voir la France, de nouveau, en première ligne dans les relations diplomatiques. "C’était un événement très important et c’est un événement par lequel la France a retrouvé la place, le rôle qui est le sien dans la vie internationale ", s’est-il réjoui.
A cette occasion, il a souligné que cela faisait très longtemps que la France n’avait pas été, de cette manière au premier rang, "active dans les grands sujets qui font la vie internationale". Il a aussi estimé, dans ce sens, que cette situation a démontré que l’Hexagone a, de nouveau, le rôle clé qui est sa vocation dans la diplomatie du monde.
Par ailleurs, le président MoDem n’a pas omis de féliciter Emmanuel Macron qui est, selon ses dires, apparu comme celui qui faisait bouger les lignes entre les grands pays du monde.
"Ce que le président de la République, au nom de la France, a apporté sur l’Iran, sur les relations internationales, sur le commerce international, sur ce qui se passe en Amazonie, c’est vraiment très important ", a-t-il renchéri. Dans ce sens, François Bayrou a ajouté que "dans cette nouvelle page, les Français se rendent compte que ce que cet homme fait est à la hauteur de ce qu’ils attendaient ".
A l’issue du sommet du G7 à Biarritz, une unité rare s’est affichée par les dirigeants depuis l’élection de Donald Trump. Ce dernier a été conciliant sur tous les contentieux du commerce à l’Iran. Par ailleurs, ils ont validé une aide d’urgence face aux feux destructeurs en Amazonie, qui a été rejetée ce mardi par le Brésil.
De son côté, au micro de Sud Radio, la porte-parole de LREM, Aurore Bergé, a jugé "très favorable" le fait "qu’on (soit) sorti des grandes déclarations de principes. D’après lui, ces dernières n’étaient jamais vraiment suivies d’effets pour avoir des choses très concrètes qui étaient acceptées par les sept chefs d’État ou de gouvernement, par exemple sur l’Iran.
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