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Une enquête préliminaire pour "violences sur personne chargée d’une mission de service public et outrages sur fonctionnaires de police" a été ouverte à la suite de cette agression.
Les faits ont eu lieu ce dimanche, vers 8h, en marge de l’ouverture des bureaux de vote pour les élections législatives.
Un assesseur désigné par Eric Ciotti a voulu empêcher l’ouverture du bureau de vote prétextant que "toutes les obligations du code électoral n’étaient pas respectées". Les raisons invoquées n’étaient pas aussi conséquentes pour repousser l’ouverture, selon le président du bureau de vote. Ces faits ont conduit à cette histoire d’agression.
Le président du bureau de vote aurait alors été frappé, selon le maire de Nice, Christian Estrosi (Horizons). Quant à Éric Ciotti, il a d’abord parlé d’une "bousculade" avant d’apporter son soutien au président du bureau de vote.
Dans une interview relayée par Europe1, le président des Républicains a souligné que c’"’est une attitude totalement inappropriée que je condamne totalement". "C’est un comportement naturellement individuel qui n’a absolument pas sa place dans un grand rendez-vous démocratique qui doit être paisible et serein", a-t-il enchaîné.
Une enquête préliminaire pour "violences sur personne chargée d’une mission de service public et outrages sur fonctionnaires de police" a été ouverte par le parquet.
(SOURCE : Europe 1)