C’est ce qu’elle a dit devant la presse vendredi, lors de l’inauguration de la Biennale d’architecture et de paysage (Bac) de Versailles. La présidente de la région Ile-de-France a confié avoir "repris (son) souffle".
Engagée dans la course à l’Élysée, Valérie Pécresse n’a recueilli que 4,78 % des voix au premier tour. C’était sous les 5 % nécessaires pour obtenir un remboursement de ses frais de campagne, pour lesquels elle s’est "endettée personnellement à hauteur de 5 millions d’euros". Son appel de dons devait s’interrompre lundi, mais a été prolongé jusqu’à la fin du mois, avec l’objectif de réunir la somme manquante, selon son entourage.
Un mois après sa défaite à la présidentielle, l’ancienne candidate du parti Les Républicains a indiqué lors de l’inauguration de la Biennale d’architecture et de paysage (Bac) de Versailles qu’elle a "repris (son) souffle". "Je suis partie marcher dans la nature, c’est ce qui ressource le mieux, je vous assure", a-t-elle ajouté.
Mme Pécresse a déclaré devant la presse qu’"en politique, soit on gagne, soit on apprend". Pour sa part, elle a affirmé avoir "beaucoup appris" avec sa défaite. Pour la suite, la présidente d’Île-de-France a exprimé sa détermination à "accélérer le rythme de la transition écologique" pour la région, en plaidant pour "une écologie des résultats" et non "punitive".
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