Le ministre de l’Intérieur a reconnu ce dimanche 6 octobre, des failles dans la surveillance de l’assaillant.
Au micro de TF1, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a reconnu des dysfonctionnements. Il a martelé qu’aucun signe de radicalisation n’apparaissait dans le dossier administratif de Mickaël Harpon. Dans sa déclaration, il a également exclu de démissionner. "Cette question ne se pose pas", a-t-il poursuivi.
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Quand l’auteur de l’attaque à la préfecture de police de Paris a justifié devant ses collègues en 2015 l’attentat contre Charlie Hebdo, aucun signalement n’a été remonté aux autorités de la préfecture.
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