La justice de l’Union européenne a rejeté le recours de Marine Le Pen demandant une annulation d’un recouvrement.
Dans l’affaire d’emploi douteux d’un assistant parlementaire, la présidente du Rassemblement national ou RN, Marine Le Pen devrait rembourser près de 41 554 euros au Parlement européen. Elle a ainsi fait un recours à la justice européenne pour une demande d’annulation de ce recouvrement. Mercredi, cette entité a rejeté tous les arguments avancés par Marine Le Pen, selon Europe 1. Ils sont jugés sans preuve ni fondement juridique, a précisé un communiqué émanant de la juridiction de Luxembourg.
Cette somme devrait être recouvrée suivant la décision du Parlement du 6 janvier 2017. Elle était indûment versée dans le cadre d’un contrat de travail concernant le garde du corps de Marine Le Pen, Thierry Légier qui a été rémunéré comme assistant. Selon ce communiqué, ce contrat portait sur un emploi à temps partiel d’assistant local du 1er octobre au 31 décembre 2011. La justice de l’Union européenne a rejeté ainsi le recours de la cheffe de RN.