Le calendrier des législatives "a vocation à être tenu, sauf circonstances particulières", déclare le président de l’Assemblée nationale, Richard Ferrand, qui met ainsi fin aux rumeurs de dissolution.
Des rumeurs selon lesquelles un projet de dissolution de l’Assemblée nationale serait prévu en cas de réélection d’Emmanuel Macron, couraient dernièrement. Des rumeurs que repoussait le président de l’Assemblée nationale, Richard Ferrand, qui a tenu à rappeler que le calendrier des législatives "a vocation à être tenu, sauf circonstances particulières", rapporte France24.com.
Sur France Inter, Richard Ferrand a indiqué mercredi 23 mars qu’une dissolution de l’Assemblée nationale était "une prérogative du président de la République" et qu’"aujourd’hui, on a un calendrier, il n’y a pas de raison qu’on ne le tienne pas". Christophe Castaner, président du groupe LREM à l’Assemblée, avait annoncé sur BFMTV et RMC qu’une dissolution "ne (lui) parai(ssait) pas d’actualité" et cela est plutôt issu "du domaine de la rumeur".
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