Anne Sinclair, l’ancienne épouse de DSK, est revenue sur l’affaire du Sofitel. Dans un entretien au Vanity Fair, elle a apporté sa version du scandale et ce qu’elle a vécu au cours de cette épreuve.
Six ans après le scandale DSK qui a causé l’affaire Sofitel, Anne Sinclair, ancienne épouse du politicien sort enfin du silence. Dans un entretien à Vanity Fair, la journaliste s’indigne hautement des retombées que cette affaire a eues sur sa vie privée. "Cette histoire va donc me poursuivre jusqu’à ma mort ? Mais merde alors ! Est-on vraiment obligé de revenir là-dessus ?", se pose-t-elle comme question. Dans la foulée, la femme avoue s’insurger contre cette tendance de la transparence absolue pour tout un chacun. Anne Sinclair "revendique le secret comme étant vital pour la sauvegarde personnelle, les rapports humains, comme la politique, d’ailleurs. Hollande n’aurait jamais dû se confesser aux deux journalistes du Monde, encore moins révéler des secrets d’État. On vit une époque folle", comme rapporté par RTL.
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Outre cette déclaration sur la transparence, Anne Sinclair a également avoué ne rien avoir vu venir par rapport à l’affaire DSK. Si la rédactrice en chef du Huffington Post reconnaît un certain déni par rapport au scandale, elle déclare cependant que chaque fois qu’elle avait des doutes, Dominique Strauss-Khan était là pour la rassurer. Fidèle jusqu’au bout, Anne Sinclair explique également la raison pour laquelle elle n’a pas immédiatement quitté son mari au lendemain du scandale. "On ne lâche pas un homme à terre. J’ai eu ces dernières années une vie légèrement agitée. Et puis j’ai retrouvé depuis trois ans le bonheur auprès d’un homme qui, comme moi, n’est plus tout jeune", explique l’ex-épouse de DSK. Un aveu sur la relation profonde qu’elle entretenait avec son ancien mari et qui, une fois encore, montre l’image d’une femme forte qui n’a quitté le navire que parmi les bons derniers.
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