Dans le cadre de l’enquête sur les violences du 1er mai 2018 survenues sur la place de la Contrescarpe à Paris, Alexandre Benalla et trois autres personnes sont renvoyés en correctionnelle.
Le parquet de Paris a requis début février un procès pour "violences volontaires en réunion" contre Alexandre Benalla, l’ancien collaborateur d’Emmanuel Macron. Les faits datent du 1er mai 2018 lorsque des manifestants victimes de violences place de la Contrescarpe à Paris sont filmés. Les images montrent les auteurs des violences parmi lesquels figure A. Benalla.
D’après une source proche du dossier, Alexandre Benalla, trois autres personnes, dont Vincent Crase, ex-salarié de La République en marche, seront jugés. Les accusés sont renvoyés devant un tribunal correctionnel. Parmi les chefs d’accusation figurent les "violences volontaires en réunion" sur plusieurs personnes, le "port d’arme de catégorie B" et le "port public et sans droit d’un insigne réglementé par l’autorité publique".
Les accusés sont aussi suspectés d’avoir porté le brassard de la police nationale alors qu’aucun d’eux n’y a droit. Sur des extraits de vidéosurveillance, il est possible de voir Alexandre Benalla procédant à une intervention violente contre un couple, rapporte Francetvinfo.fr.
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