SIPA/BREGAND CELINE
Dans la soirée du mardi 15 octobre, deux des cinq personnes placées en garde à vue dans le cadre de l’enquête sur la tuerie à la préfecture de police de Paris ont été relâchées.
A titre de rappel, un agent administratif de la préfecture de police de Paris, radicalisé, a poignardé quatre de ses collègues avant d’être abattu, jeudi 3 octobre. Cinq personnes de son entourage ont été arrêtées, lundi 14 octobre, dans le Val-d’Oise, au nord de la capitale. Des perquisitions ont également eu lieu à Gonesse, Sarcelles et Le Thillay.
D’après les dernières informations apprises par l’AFP de source judiciaire, ce mercredi 16 octobre, deux des cinq gardés à vue ont été remises en liberté mardi soir. Parmi ces personnes figure l’imam Ahmed H., qui officiait dans une salle de prière de Gonesse (Val-d’Oise), fiché pour radicalisation.
Quant aux trois autres gardes à vue, elles ont été prolongées de 48 heures, selon la même source. Mais comme le note Le Figaro, elles peuvent durer jusqu’à quatre jours, voire six en cas de menace imminente d’attentat, en matière terroriste.
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