SICCOLI PATRICK/SIPA
Un homme dans la quarantaine, père de famille, a été tué par balle à proximité d’un lieu de trafic de drogue à Nîmes, le mardi 20 février. Son fils âgé de 8 ans l’accompagnait et a survécu à l’attaque armée. Les autorités ont arrêté trois suspects à Marseille peu après les événements.
Dans la soirée du samedi 24 février, les trois individus appréhendés après la fusillade meurtrière survenue le mardi 20 février à Nîmes ont été officiellement inculpés. Les charges retenues contre eux incluent l’assassinat en bande organisée, la tentative de meurtre sur un mineur de moins de 15 ans, ainsi que divers autres chefs d’accusation tels que le recel, la destruction, l’association de malfaiteurs et le port d’armes. Tous trois ont été placés en détention préventive, rapporte La Provence.
Leur âge varie entre 19 et 25 ans. D’après les informations fournies par le parquet de Marseille, l’un des suspects était déjà connu pour des activités liées au trafic de drogue, le deuxième pour d’autres infractions, tandis que le troisième avait un casier judiciaire vierge.
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Le soir des faits, des coups de feu ont retenti vers 21h30 (heure française) dans le quartier du Chemin Bas d’Avignon à Nîmes, connu pour son trafic de drogue. Un homme d’une quarantaine d’années, résidant à Castillon-du-Gard et impliqué dans des affaires de stupéfiants, a été abattu sur place. Trois impacts de balles correspondant à une Kalachnikov ont été relevés sur son véhicule.
Son fils de 8 ans, à l’arrière, a miraculeusement survécu. Plus tard, trois hommes ont été appréhendés à Marseille, où une Kalachnikov a été trouvée dans leur voiture. Un autre véhicule lié à l’incident a été découvert incendié à Rodilhan, dans le Gard.
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