JULES MOTTE/SIPA
Sandra Vicente, 38 ans - adjointe au maire de Sénouillac, a été retrouvée morte par son compagnon, le mardi 26 janvier à son domicile. La première piste des autorités révèle qu’elle aurait succombé aux morsures de ses chiens, deux rottweilers.
"Elle a été mortellement blessée par des morsures de chiens", a expliqué le vice-procureur de la République Frédéric Cousin, dans des propos rapportés par La Dépêche. Selon lui, les vêtements de Sandra Vicente, qui se déplaçait en fauteuil roulant, étaient aussi déchirés.
Désormais, les enquêteurs vont devoir déterminer si Sandra Vicente est décédée avant d’être blessée par ses chiens ou non. Pour l’instant, aucun élément ne laisse penser qu’une action humaine est derrière ce décès, selon le parquet d’Albi. Qui plus est, le compagnon de la victime a confirmé aux gendarmes que les deux rottweilers avaient bien du sang sur la gueule.
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Sur instruction de la justice, les deux animaux ont été placés chez un vétérinaire. Aussi, le parquet a révélé que le propriétaire aurait décidé de les faire euthanasier. Par ailleurs, une autopsie a été ordonnée pour déterminer les causes de ce décès.
Sur son compte Facebook, la municipalité de Senouillac, où Sandra Vicente travaillait, a rendu hommage à la victime. "Le Conseil municipal a le regret et la tristesse de vous annoncer le décès de Sandra VICENTE, adjointe au maire. Les élus et l’ensemble du personnel s’associent à la douleur de sa famille", est-il écrit.
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