La défense de l’islamologue suisse, Tariq Ramadan, a présenté trois nouvelles expertises de reconnaissance faciale qui contredisent l’une des plaignantes.
Un nouvel élément vient d’apparaitre dans cette affaire. En effet, la défense de l’islamologue suisse a ajouté trois nouvelles expertises mettant à mal l’une des plaignantes. Il s’agit de la deuxième plaignante du nom de "Christelle" , précise rtl.fr.
D’après les expertises, cette dernière a menti sur son emploi du temps le soir du viol présumé ; elle aurait assisté à la conférence de Tariq Ramadan le soir du 9 octobre 2009.
Sur une photo montrant le public de la conférence ce soir-là, l’avocat de la défense estime apercevoir la plaignante. Dans la foulée, l’homme de loi demande l’abandon des charges.
Pour justifier sa requête, il a martelé que : "C’est l’expertise basée sur le logiciel de reconnaissance faciale qui est la plus importante". Il a aussi rappelé que "Christelle", à maintes reprises, a déjà été accusée de mensonges.