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L’une des deux femmes, séquestrées depuis lundi 20 décembre vers 15h30 dans une boutique du 12e arrondissement de Paris par un homme muni d’une arme blanche, a été libérée.
Peu avant 22 heures, le preneur d’otage a décidé de libérer l’une des deux femmes, séquestrées depuis lundi après-midi dans un bazar quincaillerie rue d’Aligre dans le 12e arrondissement de Paris. L’otage libérée par cet homme âgé d’une cinquantaine d’années, muni d’une arme blanche, ne souffre d’aucune maltraitance physique ni d’aucune blessure.
Peu après la libération de l’otage, la Préfecture de Paris a tweeté que : "Le forcené vient de libérer une des otages, qui est indemne. Les négociations sont toujours en cours" avec la Brigade de recherche et d’intervention (BRI). Après le signalement de la prise d’otage, la Brigade de recherche et d’intervention de la préfecture de police et les services de déminage ont été mobilisés. Les forces de l’ordre ont écarté la piste terroriste, rapporte France3-regions.francetvinfo.fr.
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Selon les négociateurs, la requête du quinquagénaire, qui souffrirait de troubles psychiatriques, consiste à avoir une discussion avec le ministre de la Justice, Eric Dupond-Moretti et l’avocate d’Omar Raddad. Selon ses dires, il aurait été victime d’un empoisonnement de la part de son médecin et veut réclamer justice.
De son côté, l’entourage du ministre a tenu à indiquer qu’ : "A la suite de la prise d’otages dans le 12e arrondissement, le ministre a évidemment fait savoir aux négociateurs qu’il se tenait à leur disposition".
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