KONRAD K./SIPA
Après les manifestations de masse à travers la France, les opposants à la vaccination obligatoire de Périgueux ont choisi un autre moyen pour faire entendre leur voix.
L’obligation vaccinale et les sanctions contre le personnel soignant qui refuse de s’y plier passent mal à Périgueux. Pour se faire entendre, les opposants à la vaccination obligatoire contre le coronavirus ont décidé de passer à la vitesse supérieure. Les contestataires se sont alors installés en plein centre-ville, devant la cathédrale de la ville où ils ont entamé une grève de la faim. C’est le cas par exemple de Stéphanie, infirmière au Centre Hospitalier de la commune.
D’après France3-Régions, ils étaient trois, dont Adélaïde, orthophoniste à l’hôpital, et Francis, retraité de l’enseignement. Installés sous un abri de toile, ils ont entamé une grève de la faim illimitée pour contester l’obligation de vaccin imposée par le gouvernement. "Ma motivation personnelle, c’est de retrouver mon droit au travail et ma liberté de choix. Que cette obligation vaccinale d’un vaccin en phase expérimentale s’arrête.", a lâché Stéphanie Dranguet, infirmière au Centre Hospitalier de Périgueux.
Adélaïde Jorand, orthophoniste à l’hôpital de Périgueux, a de son côté défendu la nécessité de mener une action radicale pour se faire entendre.
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