Trois jours après l’enlèvement de Santiago, un nouveau-né grand prématuré, en Seine-Saint-Denis, des mandats d’arrêt européens ont été délivrés contre ses parents, principaux suspects. Parallèlement, trois personnes parmi les cinq placées en garde à vue ont été mises en examen après leur présentation devant un juge le jeudi 24 octobre.
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Plus de trois jours après le kidnapping dans une maternité d’Aulnay-sous-Bois, des mandats d’arrêt européens ont été émis contre ses parents, les principaux suspects dans l’affaire, indique le parquet de Bobigny cité par Le Figaro. Parallèlement, trois des cinq personnes récemment placées en garde à vue ont été mises en examen.
Deux hommes, dont un mineur, ont avoué avoir aidé les parents en les escortant jusqu’en Belgique la nuit de l’enlèvement. Ils sont accusés d’’enlèvement et séquestration en bande organisée sur mineur de 15 ans’, ’complicité de mauvais traitements’ et ’privations infligées à un mineur de 15 ans’. Ces individus ont été placés en détention provisoire. Une femme proche du couple a aussi été mise en examen pour ’non-dénonciation de crime’. Elle a été mise sous contrôle judiciaire.
Les enquêteurs élargissent leur recherche à grande échelle pour retrouver les jeunes parents de Santiago. Ils étendent désormais leurs investigations au-delà de la Belgique vers d’autres pays européens.
Une affaire à suivre.
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