Selon le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme, la situation actuelle en France, marquée par le décès de Nahel, représente une occasion de s’attaquer de manière résolue aux problèmes de racisme et de discrimination raciale.
Vendredi 30 juin, la porte-parole du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme, Ravina Shamdasani, a estimé qu’après le décès de Nahel, c’était le moment pour la France de "s’attaquer sérieusement aux profonds problèmes de racisme et de discrimination raciale parmi les forces de l’ordre".
Dans un communiqué, relayé par les médias français comme 20 Minutes, le ministère français des Affaires étrangères a écrit : "toute accusation de racisme ou de discrimination systémiques par les forces de l’ordre en France est totalement infondée". Le Quai d’Orsay a souligné que le dernier examen périodique universel auquel la France s’est soumise "nous a permis d’en faire la démonstration", et que les forces de l’ordre françaises "luttent avec détermination contre le racisme et toutes les formes de discriminations. Aucun doute n’est permis dans cet engagement".
Selon le ministère, la police et les gendarmes font face à des situations et des actes d’une extrême violence avec un grand professionnalisme.
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