ROMUALD MEIGNEUX/SIPA
Ce vendredi 28 août, le ministre de l’Agriculture, Julien Denormandie, était en déplacement dans un centre équestre de Saône-et-Loire.
L’établissement a été touché par une attaque de chevaux… Des attaques qui se multiplient un peu partout en Métropole. Julien Denormandie a promis "la mobilisation de tous les services pour que justice passe". "On est là pour montrer la mobilisation de tous les services pour que justice passe", a affirmé le ministre de l’Agriculture, dans des propos rapportés par la presse française, qui était alors en visite à l’Écurie des Parriauds, dans le village de Saint-Eusèbe (Saône-et-Loire). L’oreille d’un cheval y avait été coupée.
Selon Julien Denormandie, plus d’une trentaine de cas dans plus d’une dizaine de départements ont été enregistrés ces temps-ci. "Ce sont des actes inqualifiables", a-t-il continué. "Est-ce que ce sont des barbares, des personnes indignes ?", s’est indigné le ministre évoquant "énormément d’enquêtes dans les départements" français. "Je donne mon engagement à tout faire", a-t-il martelé.
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A proximité du village de Saint-Eusèbe, à Saint-Vallier, une ponette a été retrouvée morte et mutilée en début de semaine. Son crâne a été fracassé et une partie de son museau tranchée. Parallèlement, dans le département de l’Yonne, deux hommes ont été surpris en train de lacérer des chevaux.
Et dans le Vaucluse, une jument a été retrouvée éventrée et un poney, l’oreille lacérée.
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