Alain ROBERT/SIPA
Les forces de l’ordre avaient diffusé de nombreux avis de recherche, largement relayés sur les médias sociaux. La tragédie a frappé le mardi 9 janvier. Le corps de Lauren Riches, 19 ans, a été retrouvé à proximité d’une discothèque à Saint-Flour (Cantal), où elle était samedi soir.
"La jeune femme a été retrouvée décédée dans un champ à quelques centaines de mètres de la boite de nuit", a affirmé Cyril Vicente, substitut du procureur de la République à Aurillac. "Aucune piste n’est écartée et tout est envisageable, comme la possibilité qu’elle ait été désorientée et soit morte de froid", a-t-il continué, rapportent les médias français comme Le Parisien. Les enquêteurs n’ont relevé aucune blessure pouvant être attribuée à des coups avec un objet contondant. Ils attendent l’arrivée d’un médecin pour effectuer des examens approfondis.
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La jeune femme a été portée disparue au cours de la nuit de samedi à dimanche, au moment où elle sortait de la boîte de nuit située à Saint-Flour, à proximité de l’A75, aux environs de 3h00 (heure française). Les caméras de vidéosurveillance ont enregistré son départ à pied, quittant l’établissement en solitaire.
La gendarmerie de Saint-Flour avait émis un avis de recherche mardi après-midi à la suite de l’alerte de ses amis inquiets, qui l’avaient informée dimanche. Le procureur Vicente a souligné que les recherches étaient focalisées dans les environs de la discothèque, où le téléphone portable de l’adolescente continuait d’émettre des signaux.
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