La défense de Jonathann Daval, accusé du meurtre de sa femme Alexia, se fragilise avec la découverte de l’origine de la trace d’ADN recueillie sur le short de la victime.
L’Est Républicain a informé, mardi, que la trace d’ADN de Jonathann Daval retrouvée sur le short d’Alexia s’est révélée être du sperme. La découverte de la trace de sperme du premier suspect met en cause les aveux de complicité qu’il a avancés.
Jonathann Daval, a en effet, accusé son beau-frère Grégory Gay (le frère d’Alexia) d’avoir tué son épouse. Il a raconté être présent certes sur place le jour du drame sans pour autant assister au meurtre. Il a d’ailleurs confié avoir passé un "pacte secret" avec la famille de sa défunte femme pour la dissimulation des faits.
Toujours dans l’affaire Daval, un nouvel élément incriminant Jonathann Daval a aussi été mis à jour. Il s’agit de la saisie d’une bombe aérosol sans bouchon lors de la perquisition du domicile du suspect. Un capuchon a été trouvé à proximité du corps de la victime, un bouchon "en tout point similaire à celui manquant sur la bombe" a indiqué un expert mandaté par le juge d’instruction en charge de l’enquête. Ce dernier a aussi confié auprès du Parisien qu’une "bombe de polyuréthane aurait servi pour tenter de faire brûler le corps".
Source : lejdd.fr
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