Le procureur général de la CJR, qui avait requis un non-lieu en faveur de Christine Lagarde, estime que le procès n’a pas conforté "une accusation bien faible".
"Les audiences n’ont pas conforté une accusation bien faible, voire incantatoire", a estimé Le procureur général Jean-Claude Marin/Le représentant du ministère public qui était déjà hostile au principe même d’un procès de l’ancienne ministre de l’Economie devant la Cour de justice de la République.
Dans son réquisitoire, il a déclaré que "les charges propres à fonder une condamnation pénale" de Christine Lagarde n’étaient "pas réunies", au procès de la patronne du Fonds monétaire international (FMI) pour "négligence" dans l’affaire de l’arbitrage Tapie.