Condamnée à 10 ans de prison pour le meurtre de son mari violent, puis partiellement graciée par François Hollande, Jacqueline Sauvage s’est vue refuser sa demande de libération conditionnelle.
Jacqueline Sauvage, qui avait été condamnée à 10 ans de prison pour le meurtre de son mari violent, n’a pas obtenu sa libération conditionnelle.
Devenue un symbole des victimes de violence conjugale, Jacqueline Sauvage, condamnée à dix ans de prison pour le meurtre de son mari et partiellement graciée par le président, a vu une nouvelle fois rejetée sa demande de libération conditionnelle, jeudi 24 novembre.
Après un premier refus du tribunal d’application des peines de Melun (Seine-et-Marne) le 12 août dernier, c’est la cour d’appel de Paris qui à son tour a rejeté cette demande d’aménagement de peine, à laquelle le parquet général ne s’était pourtant « pas opposé ». L’arrêt rendu à huis clos était en train d’être communiqué aux avocates de Jacqueline Sauvage, qui pourra cependant déposer une nouvelle demande de libération.