Des études ont permit de définir le dispositif de maîtrise des risques les plus pertinents.
Pendant le chantier : Des impacts forts qui ont duré 4 ans, mais avec un rythme discontinus, surtout avec le viaduc (battage, forage = hausse des distances d’effets physiologiques). Ainsi, il était nécessaire d’établir des mesures préventives favorables à toutes les espèces accompagnées de la gestion du risque accidentel : protocole spécifique en cas d’échouage.
Ce qu’on note après le chantier : perte d’habitat liée à l’infrastructure mais pas significative pour le Grand-Dauphin de l’Indo-Pacifique, vis-à-vis de l’aire de répartition naturelle de la population locale (220km² = eaux côtières réunionnaises), de l’aire vitale minimale (20km²), de l’aire vitale moyenne (70km²), de l’aire vitale maximale (120km²).
Retour sur zone des populations : niveau de connaissance générale sur ce sujet limité, mais des retours d’expériences positifs