Le gouvernement a rapidement réagi aux allégations du Président du Sénat, Herimanana Razafimahefa. Le lundi 9 octobre en soirée, il a publiquement déclaré avoir été confronté à des pressions et à des menaces de mort émanant de certains membres du gouvernement, dans le but de le dissuader d’exercer la présidence par intérim de la république.