Peut-on compter sur la collaboration du secteur privé pour soutenir la transition écologique mondiale, se demande le futur président émirati de la COP28, Sultan al-Jaber. Il plaide en faveur d’une ouverture sans précédent de la 28e conférence climat des Nations unies au secteur privé. Selon lui, cette initiative pourrait combler le déficit financier de plusieurs milliards de dollars nécessaires à cette cause.