Au micro de France Bleu, l’ancien président François Hollande s’est exprimé à la suite du décès de Jacqueline Sauvage, la femme qu’il a graciée en 2016 alors qu’elle a été condamnée après avoir tué son mari.
Jacqueline Sauvage, graciée en 2016 après avoir été condamnée à 10 ans de prison pour avoir tué son mari violent, est décédée.
La figure de la lutte contre les violences conjugales, Jacqueline Sauvage, est décédée la semaine dernière, à l’âge de 72 ans.
L’humoriste et actrice française incarne Jacqueline Sauvage, symbole des violences conjugales en France, dans un téléfilm réalisé par Yves Rénier. Elle avoue avoir connu l’enfer sur le tournage.
Plusieurs personnalités dont Muriel Robin, ont cosigné une tribune sur les violences conjugales. Ladite tribune intitulée "Sauvons celles qui sont encore vivantes" est parue dans le JDD, ce dimanche.
Graciée par François Hollande il y a trois mois, Jacqueline Sauvage se raconte dans un livre intitulé "Je voulais juste que ça s’arrête".
Fin décembre, François Hollande avait accordé à Jacqueline Sauvage, condamnée à dix ans de prison pour le meurtre de son mari violent, "une remise gracieuse du reliquat de sa peine d’emprisonnement". Pour la première fois, elle s’exprime aux médias et confie qu’elle ne se sent "pas du tout coupable".
La décision du président François Hollande de gracier Jacqueline Sauvage, a été unanimement saluée par la classe politique. Parmi les réactions à La Réunion, celles de l’Union des femmes réunionnaises et de la députée Monique Orphé.
Jacqueline Sauvage, condamnée à dix ans de prison pour le meurtre de son mari violent, a bénéficié de la grâce totale du président de la République François Hollande. Elle a été libérée mercredi 28 décembre, au lendemain de son anniversaire. La classe politique a salué le geste du chef de l’Etat.
L’administration pénitentiaire n’a pas traité la demande de permission de Jacqueline Sauvage pour les fêtes.
Plusieurs centaines de personnes se sont réunies samedi Entre 300 à 400 personnes se sont réunies, samedi après-midi, sur l’esplanade du Trocadéro, pour demander la grâce totale de Jacqueline Sauvage, condamnée à dix ans de prison pour avoir tué son mari violent. à Paris pour réclamer la grâce totale de Jacqueline Sauvage, condamnée à dix ans de prison pour le meurtre de son mari violent, à la suite du rejet de sa demande de libération conditionnelle.
Les filles de Jacqueline Sauvage ont déposé une demande de grâce totale à l’Elysée, ont annoncé ses avocates.
Condamnée à 10 ans de prison pour le meurtre de son mari violent, puis partiellement graciée par François Hollande, Jacqueline Sauvage s’est vue refuser sa demande de libération conditionnelle.
Le juge d’application des peines de Seine-et-Marne a donné son verdict par rapport à la demande de la famille de Jacqueline Sauvage. Ce vendredi, la justice a tranché et elle rejette la demande de libération de la sexagénaire.
Depuis l’annonce de la grâce présidentielle accordée par François Hollande, Jacqueline Sauvage qui a été condamnée pour avoir tué son mari violent, sort pour la première fois de son mutisme. Elle s’est confiée sur le meurtre de son mari qui la battait depuis 47 ans.
L’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy, Christine Boutin, serait la seule personnalité politique à avoir critiqué la décision du président de la République en accordant à Jacqueline Sauvage une grâce présidentielle.
Après l’annonce de la grâce présidentielle partielle accordée dimanche par François Hollande à leur mère, les filles de Jacqueline Sauvage n’ont pas caché leur joie.
Condamnée pour le meurtre de son mari violent, Jacqueline Sauvage a été graciée par le président de la République.
François Hollande a rencontré hier les filles et les avocates de Jacqueline Sauvage. De nombreuses personnalités politiques soutiennent cette femme reconnue coupable d’avoir tué son mari après 47 ans de violences conjugales.
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