Le grand patron de la FIFA, Sepp Blatter, a assuré que malgré le climat social lourd qui entoure actuellement le Brésil, l’institution reste confiante quant au bon déroulement du Mondial.
Joseph ‘Sepp’ Blatter a déclaré que son instance était confiante en marge de l’organisation du Mondial 2014 au Brésil, alors que le pays connait énormement de retards dans sa préparation, sans oublier le climat social lourd qui pèse actuellement sur place.
"Nous à la Fifa, nous sommes confiants, le moment sera célébré", a assuré le Numéro 1 de la FIFA, lors d’une conférence de presse donnée à Sao Paulo. Cette ville, qui accueillera le match d’ouverture le 12 juin prochain, est actuellement touchée par une grève des salariés du métro, mais aussi par une réminiscence des mouvements sociaux.
Jérôme Valcke, secrétaire général de la Fédération International de Football, de dire pour sa part : "Nous avons tout fait pour que le Mondial commence le 12 juin, pour avoir les meilleurs camps de bases". Le numéro 2 de la fédération de continuer : "Il n’y a pas de risque pour les premières semaines de la compétition, les plus importantes, car il y a le plus d’équipes", et "le sentiment du président Blatter, et du comité d’organisation, c’est : ‘nous contrôlons, nous n’avons pas peur des jours prochains’". "Je suis un optimiste, après le coup d’envoi du Mondial, il y aura une meilleure ambiance", conclut Blatter.
Des centaines de milliers de brésiliens en colère …
Les brésiliens ne sont pas contents, et il y a même une menace de grève générale au pays. En effet, 11 milliards de dollars d’argent publics ont été dépensés pour ce Mondial alors que le Brésil est un des pays dont le taux de pauvreté est très élevé.