Selon les dernières estimations, les secousses ressenties en Papouasie-Nouvelle-Guinée le lundi 26 février dernier, ont fait plus de 100 morts.
Le séisme qui ayant frappé une zone montagneuse du centre de la Papouasie-Nouvelle-Guinée a fait plus d’une centaine de morts et des milliers de blessés, selon le Premier ministre Peter O’Neill, ce vendredi 9 mars.
Secourir les sinistrés a été très difficile à cause de l’éloignement des zones touchées par ce tremblement de terre de magnitude 7,5 sur l’échelle de Richter. Alors que plusieurs ponts se sont effondrés, nombreuses ont été les routes qui ont dû être coupées. Et les zones concernées sont encore sous la menace de répliques.
"De façon tragique, le séisme dans les Hautes-Terres a déjà provoqué la mort de plus de 100 Papouasiens, et de nombreux autres sont portés disparus. Des milliers de personnes ont été blessées", a affirmé Le Premier ministre, comme le rapporte France Info.
"Le bilan compilé vendredi par le Centre des catastrophes nationales et les équipes de gestion est de 67 morts", avait déclaré à la presse française Udaya Regmi, président pour la Papouasie de la Fédération internationale des sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, en début de semaine.
Selon lui, environ 143 000 personnes sont touchées et 17 000 personnes déplacées car leurs habitations sont soit totalement soit partiellement endommagées.
Et un malheur n’arrivant jamais seul, le très important projet PNG-LNG (Papoua New Guinea Liquefied Natural Gaz Project), dont la firme américaine ExxonMobil est le premier partenaire, s’arrêtera pour environ 2 mois, le temps des réparations des installations.