Le scandale Volkswagen vient de connaître un nouveau tournant avec le passage aux aveux de près de 50 salariés. Ces derniers ont reconnu leur implication dans le trucage des tests pour les moteurs de la firme.
Les langues se délient par rapport au scandale Volkswagen
Dans le cadre du programme d’amnistie proposé aux employés pour l’accélération de l’enquête interne sur le scandale Volkswagen, 50 salariés sont passés aux aveux. Les investigations portaient sur les tricheries de la firme allemande dans les normes antipollution sur ses moteurs. Ainsi, les salariés avaient jusqu’à ce lundi 30 novembre pour témoigner en interne. En échange, leur employeur ne les sanctionnera pas et mettra tout en œuvre pour alléger d’éventuelles poursuites judiciaires. Dans sa lettre adressée au personnel, la firme précisait que le délai courait "jusqu’au 30 novembre au plus tard". Le précédent deadline était jusqu’à fin décembre, mais les dirigeants se sont ravisés entre-temps.
Les mesures prises par Volkswagen
Ces nouveaux passages aux aveux pourraient encore fragiliser la position de la firme automobile qui avait certifié que seul "un petit groupe de personnes" était mis en cause. Le constructeur allemand a fait la promesse d’enquêter sur l’équipement de ses voitures d’un logiciel truqueur pour frauder les tests antipollution.
Pour rappel, 11 millions de véhicules diesel ont été concernés par ce scandale qui touche Volkswagen. En France, un site internet ainsi qu’un numéro vert (0805.805.200) ont été mis en place à partir de lundi pour guider les utilisateurs qui seraient concernés.
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