Les habitants de la Ghouta orientale attendent avec impatience l’application de la trêve réclamée par l’ONU, après les bombardements ayant tué plus de 500 civiles en une semaine dans la région.
Alors qu’une trêve humanitaire est réclamée par l’ONU, le régime syrien est de nouveau accusé d’avoir perpétré une attaque chimique contre la Ghouta, dimanche. Mais son allié, Moscou, a nié ces accusations.
Malgré la trêve d’un mois adoptée au Conseil de sécurité de l’ONU, samedi, le régime a quand même poursuivi ses raids aériens, dimanche, sur ce fief rebelle. L’ONU avait pour but d’évacuer les blessés dans le pays, mais aussi de distribuer de l’aide humanitaire durant la trêve.
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Selon l’Iran, un autre allié du régime syrien, l’offensive contre les groupes terroristes allait toujours se poursuivre. En effet, un média prorégime a indiqué que les forces loyales au régime ont fait une campagne aérienne contre la Ghouta orientale, le 18 février. D’ailleurs, afin de conquérir la région, elles envisagent une offensive terrestre.
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(Source : Le Figaro)