Comme il est de coutume, le nouveau président des Etats-Unis Donald Trump a posé pour son portrait officiel. Alors que son apparence a été bien soignée, une faute d’orthographe s’est glissée dans l’affiche.
C’est la boulette. La coiffure bien soignée, le sourire éclatant et la tenue impeccable, Donald Trump n’a négligé aucun détail pour son portrait officiel. Le seul hic, une faute d’orthographe s’est glissée sur l’affiche mise en vente sur le site de la Librairie du Congrès. Sur la version officielle en anglais, la lettre "o" est tombée au milieu de la deuxième ligne. La citation deviendrait en français : "Aucun rêve n’est trop immense, aucun défi n’est tro(p) grand. Rien de ce que nous voulons pour notre pays n’est hors de notre portée". L’affiche a été retirée de la vente depuis, mais les internautes n’ont pas raté cette erreur.
Hot off the presses. The official Trump Inauguration poster, available through the Library of Congress. Perfect gift for illiterate friends. pic.twitter.com/TzTuj1Spxk
— Donna Carr (@donnacarrwest) 13 février 2017
No joke : Purchasable copy of Trump’s Inauguration Print, direct from the Library of Congress site. A 5th grader would’ve spotted this typo. pic.twitter.com/zomWsMojYV
— Jules Winnfield (@paulm4749) 12 février 2017
.@librarycongress trolls #Trump
"captures the essence of Trump’s campaign"
"to great"(Print was not made, but is sold by the Library) pic.twitter.com/2527ojaxCP
— Thomas C. Theiner (@noclador) 13 février 2017
D’après le quotidien The Hill repris par la presse française, la librairie du Congrès décrivait l’affiche comme "l’essence de la campagne présidentielle de Donald Trump". Ce n’est visiblement pas la première fois que le 45e président américain est critiqué pour les erreurs dans ses écritures. Durant la campagne pour l’élection présidentielle, Marco Rubio, candidat à la primaire des Républicains n’a pas hésité à se moquer des fautes d’orthographe commises par le milliardaire dans ses tweets. Décidément, le nouveau locataire de la Maison-Blanche ne cesse de faire parler de lui depuis son ascension au pouvoir et bien avant même.