Karol H, L’Agatha Christie de la Réunion

 

 

L’auteure raconte ensuite comment elle a concocté son livre : « J’ai commencée à écrire La Caresse du Diable au tout début de l’année 2012, il m’a fallu 9 mois pour le terminée, une gestation tout comme pour une naissance. Je n’ai pas la prétention de dire ici qu’un écrivain est née, mes lecteurs seront seuls juges, mais mon premier roman, lui, est né en septembre de la même année. Il y à eu des moments de "page blanche" on sait ce que l’on à envie d’écrire, l’histoire est construite dans sa tête mais les mots ne viennent pas, où alors pas comme on le voudrait. D’autres moments de fluidités, et certains de doutes. Des recherches aussi, pour que ce que j’écrivais soit cohérent, notamment pour la façon dont le meurtrier allait tuer », et d’ajouter : « Une espèce d’euphorie d’écriture ou les mots viennent un coup en journée, un autre la nuit. Ce qui est fabuleux, c’est que ce tout premier livre n’était pas encore terminé que j’avais déjà l’idée d’un deuxième ».

 

 

 

 

 

‘La Caresse du Diable’ suit Fauve qui, depuis plusieurs mois, se réveille tétanisée par la peur, en proie au même cauchemar strident. S’agit-il de simples angoisses nocturnes ou de rêve prémonitoire ? La réalité ne tarde pas à rattraper la jeune femme quand la terreur s’abat brusquement sur l’hôpital dans lequel elle travaille. Entre les murs du centre, un assassinat vient d’être commis.

 

Et le meurtrier est peut-être plus proche d’elle que ce qu’on voudrait lui faire croire… Excellant dans l’art de faire basculer peu à peu le quotidien dans l’horreur.

 

Karol H. orchestre en virtuose les rouages d’un thriller haletant où personne n’est épargné – pas même le lecteur, à son tour happé jusqu’au vertige par cet engrenage diabolique.