Alors que Kim Kardashian n’a pas encore fait des révélations en public au sujet de son agression, le "Journal du dimanche" a obtenu le procès verbal de son audition de la star américaine par la police dans la nuit des faits.
Dans la nuit du 3 au 4 octobre 2016, Kim Kardashian a été la cible d’un braquage dans une discrète résidence hôtelière de luxe à Paris. Jusqu’à ce jour, la star américaine n’a pas fait de confidences en public au sujet de cette agression. Les voleurs avaient réussi à lui dérober une bague et un coffret de bijoux qui s’élèvent à un montant total de neuf millions d’euros. Il s’agit du plus important vol de ce type commis sur un particulier en France depuis plus d’une vingtaine d’année. A l’heure actuelle, dix personnes ont été mises en cause dans cette affaire.
Toutefois, les fans de la star américaine attendent toujours ses confidences en public. Dans l’attente d’une éventuelle conférence de presse, le Journal du dimanche rapporte les extraits de l’audition de Kim Kardashian qui a eu lieu peu de temps après son braquage. Au cours de l’’audition par les policiers français qui a duré une heure, la maman de North a déclaré avoir entendu du bruit à la porte, comme des pas. "J’ai appelé à 2h56 mon garde du corps. J’ai vu par la porte coulissante deux personnes arriver plus le monsieur de l’accueil qui était attaché", a-t-elle raconté.
Kim Kardashian s’est rendue compte que la situation s’est aggravée lorsqu’elle a aperçu deux hommes cagoulés. L’un deux avait réclamé sa bague qui se trouvait sur sa table de chevet et qui coûtait 4 millions de dollars soit environ 3,7 millions d’euros. "Je lui réponds que je ne sais pas, il sort une arme et je lui montre la bague. Il a dirigé l’arme vers moi. Il prend la bague, il a des gants. Il m’a demandé où sont les bijoux et l’argent", a poursuivi l’Américaine de 36 ans. Ce fut le début du cauchemar, car la star de la téléréalité a été ensuite attachée avec des câbles en plastique et du scotch sur les mains. Sa bouche et ses jambes ont été ensuite scotchées et elle était transportée dans sa baignoire.