La propriété acquise par la chanteuse Taylor Swift a appartenu au producteur de films Samuel Goldwyn. Pour ce fait, la belle demande à ce que la maison soit inscrite au patrimoine culturel, comme faisant partie intégrante de l’histoire du cinéma américain.
Comme tout diva qui se respecte, Taylor Swift a des visions de grandeur. La dernière lubie en date de la jeune femme est de demander à ce que la propriété qu’elle vient d’acquérir soit portée au patrimoine culturel américain. En effet, la chanteuse a acheté la propriété du grand producteur Samuel Goldwyn et souhaite le faire reconnaître comme faisant partie intégrante de l’histoire d’Hollywood et du cinéma américain. La résidence qui est située à Beverly Hills a coûté 25 millions de dollars en 2015 à Taylor Swift. Depuis cette date donc, l’interprète de "Shake it off" y a effectué des travaux de rénovation.
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D’après le Beverly Hills Courier rapporté par 20 Minutes, la Commission de l’héritage culturel se penchera sur le dossier mercredi prochain. Il faut savoir que la demande de Taylor Swift relève d’une stratégie judicieuse. En effet, si son domaine est reconnu comme faisant partie du patrimoine culturel américain, cette dernière va pouvoir bénéficier d’aides financières. L’entretien du lieu sera donc déduit de sa fiscalité. Les médias locaux font en effet état de plusieurs millions de dollars pour les travaux de rénovation que la chanteuse américaine a mené sur la propriété de Samuel Goldwyn.
#TaylorSwift drops almost $28 million on a new house in Beverly HIlls ! Anyone for tennis ? http://t.co/iBfCl1HIdj pic.twitter.com/dugtQ5wn25
— 975 WABD (@975wabd) October 3, 2015
Mais qui est donc Samuel Goldwyn ? Pour ceux qui l’ignorent, il est l’un des plus grands producteurs américains du début du XXe siècle. Il est le grand fondateur de la Goldwyn Pictures avec le lion rugissant en début d’affiche. Avec Cecil B. DeMille, Jesse L. Lasky et Arthur Friend, Samuel Goldwyn a tourné le tout premier film à Hollywood, un western muet intitulé Le mari de l’indienne (The Squaw Man, en VO), en 1913.
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