Simon Decleves/SIPA
Agressée en pleine nuit dans une résidence de luxe à Paris, Kardashian a été ligotée et bâillonnée et neuf millions d’euros de bijoux lui ont été dérobés. Selon les premières investigations, la star de téléréalité américaine s’est libérée elle-même avant de prévenir son garde du corps.
Détroussée de plusieurs millions de bijoux, Kim Kardashian a été entendue par la police quelques heures après son agression avant de rejoindre l’aéroport du Bourget et d’embarquer à bord de son jet privé pour les Etats-Unis. Accueillie à New York comme un chef d’Etat, la bimbo de 35 ans a retrouvé son époux Kanye West, ainsi que ses amis proches. A l’heure actuelle, la famille reste barricadée dans son appartement de Manhattan, fuyant les médias. En France l’enquête se poursuit.
D’après les premières investigations, "elle a défait ses liens et téléphoné à 2 h 56 à son garde du corps qui n’était pas présent sur les lieux au moment de l’agression", a déclaré une source proche de l’enquête. Celui-ci, "qui accompagnait la sœur de Kim Kardashian en boîte de nuit" au moment des faits, a déclaré mardi à la presse anglaise qu’il comptait "traquer les braqueurs". Selon une source proche de Kim Kardashian qui s’est confiée au site américain People, la starlette n’en veut pas à son garde du corps : "Kim ne reproche rien à Pascal. Elle se sentait complètement en sécurité dans l’appartement parisien et elle ne pense pas que cela soit de sa faute".
En plus de la star et du veilleur de nuit, menotté par les malfaiteurs après leur intrusion dans l’immeuble, une styliste était également présente. Les enquêteurs ont pensé dans un premier temps que c’est elle qui avait donné l’alerte. Une version désormais écartée. Les investigations de la police technique et scientifique se poursuivent avec la recherche d’éventuelles traces ADN pour tenter d’identifier les auteurs. Aucune image de vidéosurveillance n’a en revanche été récupérée.
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