Pour la promotion de son livre "Merci pour ce moment", Valérie Trierweiler a donné plusieurs interviews aux médias britanniques. L’occasion pour elle de faire des confidences explosives
De passage au Royaume-Uni pour une tournée promotionnelle de son livre « Merci pour ce moment », l’ex-compagne de François Hollande s’est livrée sur « sa douloureuse blessure amoureuse ».
"Tout ce que je dis, c’est qu’il m’a séduite et apparemment je n’étais pas la seule", affirme la journaliste de Paris Match faisant allusion à Julie Gayet. Cette dernière a d’ailleurs été photographiée avec le président dans leur intimité elyséenne. "Beaucoup espéraient que j’accepte d’être trahie, répudiée et insultée passivement devant la terre entière. Désolée, je suis une femme libre", souligne la journaliste.
Au Times Magazine, Valérie Trierweiler raconte se sentir espionnée par l’Elysée et le président. Selon Metronews, « François Hollande lui a envoyé des bouquets de fleurs dans des hôtels au Maroc et aux Etats-Unis ». Elle révèle que le chef d’Etat a "eu recours à certaines méthodes" tout en indiquant ne pas savoir « comment il a fait pour la trouver ». Elle de poursuivre, "Il m’a dit : ‘Je saurais toujours te trouver’" avant de commenter "Dans beaucoup de pays, le recours d’un chef d’Etat à des policiers voire des diplomates pour tracer les voyages à l’étranger d’une ex-compagne constituerait un scandale considérable. En France ? On verra bien".
Dans son interview, elle a également annoncé que le printemps et l’été dernier, l’actuel locataire de l’Elysée l’a "bombardée de textos et d’e-mails" pour la supplier de revenir.
Par ailleurs, lorsque François Hollande lui a révélé sa liaison avec Julie Gayet, on lui aurait administré un supplément de sédatifs, l’empêchant ainsi de l’accompagner à Tulle. "C’est le médecin lui-même qui me l’a dit le lendemain", a-t-elle insisté.
Dans un entretien à la Repubblica, elle s’est exprimé sur l’impopularité du président. "Aux élections municipales, avant la sortie de mon livre, le parti socialiste s’est effondré. (...) L’électorat de gauche est déçu. C’est trop facile de m’imputer l’impopularité du président. Je ne suis pas responsable des usines qui ferment ou du chômage qui augmente.", a-t-elle lancé.
Elle a évoqué la visite que François Hollande lui aurait rendue quelques jours avant la publication de ses dernières photos avec Julie Gayet sur une terrasse de l’Elysée. "Il était assis sur ce canapé même. Il voulait me dire qu’il ne m’en voulait pas pour le livre, et m’assurer que Julie Gayet ne vient jamais à l’Elysée. Le mensonge nous aura accompagnés jusqu’à la fin.", a-t-elle conclu.