"La folle de l’Elysée", Valérie Trierweiler trahie par ses ex conseillers

Il est de notoriété publique que Valérie Trierweiller n’est plus la bienvenue à l’Elysée, commente Gala aujourd’hui. En effet, l’ex-première dame tire à boulets rouges sur tout le monde dans son livre à commencer par les conseillers de l’Elysée à qui elle reproche de lui avoir manqué de respect, mais aussi certains proches du président de la République comme Manuel Valls, Julien Dray ou Ségolène Royal. 

Brandissant la loi du talion, les vestes se retournent et les langues se délient. Et les adversaires d’aujourd’hui sont des anciens conseillers de Valérie Trierweiller. Valeurs Actuelles s’en fait l’écho cette semaine : "Désormais, les mêmes conseillers passés de la cour de la reine à la garde rapprochée du roi n’ont pas de mots assez durs pour disqualifier l’ex première dame. Pour eux, et malgré parfois les années de complicité, Valérie Trierweiler n’est plus qu’une folle, une hystérique".

Depuis son départ de l’Elysée et la sortie de son livre, ses plus proches soutiens se désolidarisent d’elle. Parmi ceux-ci, Brigitte Taittinger qui fut à ses côtés le soir où François Hollande lui avoua son infidélité, et resta auprès d’elle lors de son transfert à la Pitié Salpetrière.

Valérie Trierweiller disposait à l’Elysée d’un cabinet chargé d’organiser ses obligations, son courrier et sa communication. Ledit cabinet composé de trois conseillers et deux gardes du corps, a rejoint les équipes du président après la rupture. Carole Tep, chargée de mission engagée par Carla Bruni et restée en place et Sylvie Hubac est désormais chargée des commémorations dans le cabinet de François Hollande.

Enfin Stéphane Ruet, ami intime de Valérie Trierweiler et auteur du livre François Hollande président est désormais responsable de l’image du président. Des rumeurs au sujet du départ de Biancone et de Stéphane Ruet ont circulé, mais les deux hommes sont toujours, à ce jour, à l’Elysée.