Du Japon au Nigeria, en passant par les États-Unis, des pratiques sexuelles surprenantes font le bonheur des amateurs d’exotisme érotique. Voici une sélection des bizarreries sexuelles les plus inattendues.
Le Nyotaimori est une pratique courante dans les restaurants japonais. Il est connu en Occident sous le nom de Body sushi, et consiste à étaler sur le corps d’une jeune femme nue des sushis. Cela dit, le Nyotaimori aurait une fonction culinaire : les sushis resteraient ainsi à température idéale, celle du corps.
Au Nigeria, des couples se rendraient dans les réserves naturelles afin d’y faire l’amour en pleine nature et au milieu des bêtes sauvages. Selon les adeptes, la pratique permettrait de capter l’énergie sexuelle des animaux en rut.
Toujours au Japon, le quartier de Harajuki, à Tokyo est le théâtre d’une pratique sexuelle d’un genre particulier. Des femmes apparemment saines de corps se transforment en grands blessés en s’affublant de bandages, de gaze et autres bandeaux sur l’œil, espérant ainsi rencontrer l’âme sœur. Ce serait apparemment l’ultime moyen d’atteindre le Nirvana.
Aux États-Unis, une autre pratique sexuelle consiste à faire l’amour avec un faux cadavre, c’est-à-dire une personne qui feint d’être morte. La pratique est légale, contrairement à la nécrophilie. Afin de rendre la chose encore plus réaliste, la personne va même jusqu’à se plonger dans un bain d’eau glacée.
Tandis que les hommes amateurs de chair fraîche s’en vont faire du tourisme sexuel à Pattaya Beach, en Thaïlande, leurs partenaires féminines ont également leurs propres destinations exotiques pour assouvir leurs fantasmes. L’une des destinations les plus courues en la matière est certainement la station balnéaire de Mombasa, au Kenya.
Au Royaume-Uni, une des pratiques sexuelles les plus inattendues consiste à faire l’amour avec un mannequin en plastique. Certains auraient même une prédilection pour les statues religieuses.
Décidément, le Japon est une terre de prédilection pour les amateurs de pratiques sexuelles bizarres. L’an dernier, le record de la plus grande orgie y a été battu. Deux cent cinquante hommes et autant de femmes se sont ébattus pour une mémorable partie de jambes en l’air. L’événement a été immortalisé dans une vidéo. Cependant, les participants n’étaient pas autorisés à changer de partenaire pour cause de "moralité".
Le Ponyplay est une pratique SM qui vient des États-Unis. Affublé du harnachement traditionnellement réservé aux chevaux de petite taille, "l’esclave" tire l’attelage sous l’impulsion du "maître" ou de la "maîtresse".
Toujours aux États-Unis, un certain Douglas Hines a présenté le premier robot sexuel de l’histoire lors du salon de l’érotisme Adult Entertainment Expo. Le sextoy coûte 5 000 euros. Le robot est équipé d’un logiciel permettant à son propriétaire de le personnaliser à sa guise et d’effectuer des mises à jour.
En Allemagne, le playboy Rolf Eden, 78 ans, furieux d’avoir été éconduit par une jeune fille âgée de dix-neuf ans dont il convoitait les faveurs, a décidé de traîner la belle devant les tribunaux. Le motif invoqué par la demoiselle pour refuser ses avances : l’homme est trop âgé. Ce que le playboy septuagénaire a jugé discriminatoire.