Le passage de la tempête tropicale Fakir au plus près de La Réunion a engendré près de 8 millions d’euros de dégâts dans l’agriculture. Dans le cadre de la mission d’enquête pour l’évaluation des dégâts agricoles, le préfet de La Réunion est à Ste-Rose ce matin. Objectif : rencontrer trois exploitants durement touchés par la tempête à Sainte-Rose.
Pour les agriculteurs de Sainte-Rose, le passage de la forte tempête tropicale Fakir a ravagé tous champs... Les dégâts sont considérables et ils demandent que l’état de calamité agricole soit reconnu afin qu’ils puissent relancer leurs activités.
A Sainte-Rose, les champs de bananiers ont été complètement dévastés après le passage de la forte tempête tropicale Fakir. Idem pour les champs de cannes... Interrogé dès le lendemain du passage de la tempête, un agriculteur installé à Sainte-Rose - Jean-David Baptiste - a expliqué qu’il lui faudra près d’un an pour cueillir à nouveau des fruits et sortir la tête de l’eau.
Concernant la demande de reconnaissance de l’état de calamité agricole, une mission d’enquête est lancée.
Et c’est dans le cadre de cette mission d’enquête pour l’évaluation des dégâts agricoles que le préfet de La Réunion, Amaury de Saint-Quentin, s’est rendu ce matin à Sainte-Rose.
Le but de ce déplacement pour le préfet de La Réunion : rencontrer trois exploitants durement touchés par la tempête Fakir à Sainte-Rose et donc, évaluer l’ampleur des dégâts.