Une 2e journée travaillée non-payée pour financer la dépendance, ou "journée de solidarité", est "une piste intéressante". Emmanuel Macron n’est "pas contre" cette idée déjà évoquée jeudi par la ministre de la Santé, Agnès Buzyn
Agnès Buzyn - ministre de la Santé - envisage de mettre en place une 2e journée de solidarité, afin de venir en aide aux personnes âgées dépendantes. L’espérance de vie augmente et cette deuxième "journée de solidarité" viendrait en complément du lundi de Pentecôte.
A La Réunion, les réactions recueillies ce lundi dans le Sud de l’île sont plutôt positives, malgré quelques doutes sur l’efficacité de la mesure.
Travailler une seconde journée chaque année sans être payé pour accompagner les personnes âgées dépendantes : l’idée est lancée.
A ce jour, les salariés donnent déjà une journée de travail chaque année pour aider les personnes âgées. Elle est généralement située le lundi de Pentecôte.
Les chefs d’entreprise réagissent aussi à cette mesure. Selon eux, faire preuve de solidarité est une nécessité de nos jours.
Pour le gouvernement : l’augmentation du nombre de personnes âgées dépendantes impose de trouver "un nouveau financement" cette seconde journée travaillée gratuitement est l’une des pistes étudiées.