Marie Michèle Payet a été greffée du rein en métropole. Depuis, elle espère vivre plus sereinement.
En 2000, Marie Michèle Payet découvre qu’elle est atteinte d’une maladie qui détruit peu à peu ses reins.
Marie Michèle Payet doit entamer des dialyses. Pour cela, elle s’installe en métropole en 2011 avec son mari. "Il faut tout quitter, famille, boulot, tout ce qu’on a et partir. Ce n’est pas facile aussi la bas parce que l’installation est très compliquée, on a pas trop d’aide."
En métropole, Marie Michèle bénéficie d’une greffe de rein.
Pour Marie Michèle, "c’est magique d’être greffée. Ça nous donne de l’espoir et on pense à une autre vie. La dialyse c’est bien, ça nous sauve la vie mais être greffée c’est mieux."
Cette greffe est un soulagement pour la mère de famille, même si pour cela elle a du passer par un traitement lourd et complexe : "En métropole ils ont des machines pour les personnes comme moi qui possèdent beaucoup d’anticorps. Ce sont des traitements lourds, fatigants, par injections intraveineuses sur des durées de six mois."
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Marie Michèle Payet est à La Réunion pour quelques jours mais elle doit rester en métropole pour son traitement : "J’espère qu’un jour on va rentrer mais pas tout de suite car j’ai encore des traitements toute l’année."
